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Oui, c’est le Graal de l’existence.
Faire les choses simplement est un art.
» Simple n’est pas péjoratif. «
Il est malheureusement coutume de se sentir heureux de faire compliqué, car cela demande des efforts, des détours.
À croire que les complications nous remplissent, ce qui nous donne une consistance.
Non, ce n’est pas parce que l’on fait des choses complexes, ou recherchons des choses complexes ou faisons devenir des choses complexes que l’on se sent plus intelligent.
C’est un leurre de l’ego ( du mental ) qui se satisfait de remuer ciel et terre, de donner l’apparence de s’agiter dans tous les sens… pour… rien ou si peu !
Oui être simple ou faire simple est un art.
Peu enseigné dans notre civilisation occidentale (de façon intentionnelle sans doute), j’ajouterais plutôt que nous sommes éduqués à la complication, cela fait partie de notre éducation.
Revenons à la simplicité.
La simplicité n’est pas quelque chose de simple !
C’est le plus grand niveau de connaissance qui existe.
Ne dit-on pas que le plus grand niveau de sagesse qui existe, c’est la simplicité ?
Si vous arrivez à simplifier quelque chose, c’est que vous la maîtrisez complètement.
Dans la simplicité, il y a la perfection, donc quand on arrive à simplifier, on arrive à la perfection. On a besoin de ne rien ajouter.
Si vous n’arrivez pas à simplifier, c’est que vous ne maîtrisez pas.
Les personnes qui ne maîtrisent pas, ajoutent des choses pour remplacer… ce qui tend aux complications (visibles dans toutes les situations de la vie et surtout dans l’enseignement du golf par exemple).
Mais comment aller vers la simplicité ?
Dans un premier temps, s’éloigner de la notion de dualité : plus/moins, bien/mal, blanc/noir, beau/pas beau, juste/faux…
Tant que l’on reste dans ce schéma primaire, on ne peut pas véritablement avancer.Donc s’éloigner de cette dualité pour tendre vers la notion de l’union, du tout, du sentiment d’unité.
Il n’y a pas le bien d’un côté et le mal de l’autre, ce qui fait avancer, c’est la réunion des deux. C’est comme une batterie de voiture. Une batterie et la réunion de deux pôles, on ne choisit pas un pôle ou un autre, la batterie c’est l’ensemble !
Dans un deuxième temps, il faut donc désapprendre… Ou encore dit autrement se déconditionner de ce conditionnement dans lequel nous vivons. Désapprendre les certitudes que nous avons hérité par notre culture, par notre famille…
Et comment se déconditionner ? en se renouvelant chaque jour.
Se renouveler, c’est se mettre dans la peau de l’apprenant. On ne sait rien, on a tout à apprendre, c’est ainsi que l’on progresse. Dès qu’on pense savoir, on se fige, on se sclérose.
Et toi, comment fais tu pour aller vers plus de simplicité ?
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